Don Cheadle parle de Iron Man 2

Terrence Howard parti, c’est Don Cheadle qui se glisse dans la peau de James ‘Rhodey’ Rhodes, l’ami et confident de l’industriel génial Tony Stark, alias Iron Man, pour cette suite. Vu dans Ocean’s Twelve et ses deux suites, mais également à l’affiche de l’excellent Hotel Rwanda (pour lequel il a été nominé pour l’Oscar du meilleur acteur), l’acteur-producteur répond à quelques questions.

Rédaction : Comment avez-vous été impliqué dans [b]Iron Man 2 ?

Don Cheadle : J’ai reçu un appel de mon agent me disant qu’ils m’offrent le rôle. C’était plutôt sympa. Ça s’est passé très vite, et j’ai eu très peu de temps pour répondre. Carrément, une nuit. Je n’étais pas au courant de ce qui s’était passé avec Terrence. Et quand ils m’ont appelé, j’ai demandé ce qui se passait avec lui. J’ai travaillé avec Terrence, je le connais depuis un bon bout de temps. Et ils m’ont dit qu’ils l’ont quitté. Aussi, ce n’est pas comme si je me suis approprié le boulot de Terrence, parce que le boulot était déjà à prendre. Quelqu’un d’autre devait jouer le rôle. Je ne sais pas qui était la personne après moi, mais c’était vers elle qu’ils allaient se tourner. Et j’ai littéralement eu que quelques heures pour accepter ou non le job.

Rédaction : Pouvez-vous nous dire quelques mots concernant l’histoire ?

Don Cheadle : Je ne peux rien révéler parce que je n’ai rien vu jusqu’à maintenant. Je n’ai aucune idée. Il n’y a pas encore de script. Tout ce que je sais est à peu près tout ce que vous savez, que Rhodey jeta un regard au costume et dit, ‘Une prochaine fois’ . Donc j’imagine que je vais enfiler un costume.

Rédaction : Ont-ils expliqué à quel point ils allaient développer le personnage dans le prochain film ?

Don Cheadle : Il n’y a pas encore de détails là-dessus. Manifestement, je pense que le personnage sera beaucoup plus important. Dans les BD, si vous les lisez, vous vous rendez compte que le personnage devient un outil intéressant dans la vie d’Iron Man, aussi ce n’est pas un personnage de seconde zone. C’est une sorte de partie intégrante de l’histoire.