Une Espagne magistrale !

Citation :

Une maîtrise totale. L'Espagne a réalisé une finale de l'Euro 2008 superbe, dimanche à Vienne, pour disposer de l'Allemagne (1-0). La Roja a fait la différence grâce à un but signé Fernando Torres dès la 33e minute de jeu. Dominateurs dans tous les compartiments du jeu, les coéquipiers de Xavi se sont créés une pléiade d'occasions et méritent amplement ce succès.

Mérité tant ils ont dominé l'Allemagne et le tournoi

C'était pas bien.

Clair que c'était mérité...Et oh mon dieu que ça fait du bien de voir ces connards d'allemand se faire battre
Toutes les défaites de l'Allemagne sont bonnes à prendre, même si ça me fais chier pour Aragonès, j'suis plus haineux contre les Allemands donc...

C'est toi le con****. Et pourquoi c'est censuré moi ?

Car tu dis la verité toi .

Parce que connards au pluriel ça passe mais pas au singulier

Test : con**** - Connards

C'est intelligent ça.

Citation :

Une maîtrise totale. L'Espagne a réalisé une finale de l'Euro 2008 superbe, dimanche à Vienne, pour disposer de l'Allemagne (1-0). La Roja a fait la différence grâce à un but signé Fernando Torres dès la 33e minute de jeu. Dominateurs dans tous les compartiments du jeu, les coéquipiers de Xavi se sont créé une pléiade d'occasions et méritent amplement ce succès.

Invaincus... La Roja a réalisé un tournoi parfait pour mettre fin à quarante-quatre ans de disette. L'Espagne a en effet maîtrisé son sujet depuis son premier rendez-vous face à la Russie jusqu'à cette finale, à Vienne, face à l'Allemagne qu'elle a tenue d'une main de fer. Un succès amplement mérité pour une équipe emmenée par un Fernando Torres de gala qui a su profiter de la qualité de passes d'un milieu de terrain splendide pour entrer dans l'histoire de son pays en inscrivant le but de la victoire. Un but dont il avait rêvé tout haut dans la semaine et qui est devenu réalité.

Pourtant, le début de rencontre est plutôt à mettre au crédit de la National Mannschaft. Si les deux équipes s'observent, ce sont les Espagnols qui sont les plus tendus comme en témoigne cette grosse erreur de Ramos qui effectue une relance dans l'axe qui profite à Klose. Heureusement pour l'Espagne, l'attaquant allemand pousse trop son ballon et gâche une énorme opportunité (3e). C'est ensuite Ballack qui se met en évidence en déposant Puyol d'un grand pont, il résiste à Ramos avant de placer un centre que personne ne peut reprendre (8e). Enfin, Klose déborde à gauche et sert en retrait Hitzlsperger dont la frappe n'inquiète pas Casillas (9e).

Torres délivre tout un peuple

La Roja se met ensuite en route avec ses habituelles qualités de dribbles et de passes pour trouver des espaces. Xavi trouve Iniesta dans le dos de la défense, son centre est repoussé par Metzelder qui manque de tromper Lehmann qui dégage en catastrophe (14e) ! Iniesta intercepte ensuite et lance immédiatement Torres, l'Espagnol bute néanmoins sur Mertesacker (18e). C'est le début du festival « d'El Nino » qui place un tête non cadrée sur un coup franc de Xavi (20e) avant de sauter plus haut que le géant Mertesacker et trouve le poteau d'un Lehmann battu (23e).

Les Espagnols s'imposent alors plus nettement encore comme les patrons sur le terrain. Les Allemands, eux, ne font pas les bons choix comme sur cette frappe contrée de Ballack (25e) ou surtout cette incapacité de Podolski à faire quoique ce soit avec le ballon alors qu'il avait été servi dans la surface (27e). Tant mieux pour l'Espagne qui, après une frappe de Fabregas (31e), finit par trouver l'ouverture. Sur un superbe ballon en profondeur de Xavi pour Torres, Lahm légèrement en avance se fait surprendre par l'attaquant espagnol qui trompe Lehmann d'une balle piquée somptueuse (1-0, 33e).

Löw change ses plans

Un but qui n'altère aucunement les bonnes intentions espagnoles. Iniesta s'enfonce à gauche, il a la possibilité de frapper mais il centre vers Silva seul dans la surface qui manque complètement sa reprise (35e). Le même Iniesta se retrouve encore en bonne position juste avant la pause mais il fait le dribble de trop et se fait contrer (45e).

Une domination espagnole qui pousse Joachim Löw, le sélectionneur allemand à réagir doublement. D'abord en lançant Jansen à la place d'un Lahm en difficulté (46e) puis en changeant de système pour passer à deux attaquants en remplaçant Hitzlsperger par Kuranyi. Un deuxième changement rendu nécessaire par une domination confirmée de la Roja. En effet, Xavi, servi par Torres, avait trop croisé sa frappe (53e), Silva avait frappé au but (54e) et Torres manqué de peu de prendre de vitesse Mertesacker et Lehmann sorti à sa rencontre (55e).

Le changement opéré par Löw modifie tout de même la donne. Tout du moins dans un premier temps puisque l'Allemagne se met soudainement à pousser très fort. Puyol se fait balader par Jansen qui glisse à Schweinsteiger, celui-ci trouve Ballack dont la reprise instantanée frôle le poteau de Casillas (60e). Le milieu de terrain de Chelsea, très nerveux tout au long de la rencontre, centre vers Kuranyi et oblige Casillas à une sortie parfaite (61e). C'est ensuite Schweinsteiger qui tente une frappe (63e) avant de manquer totalement un nouveau coup franc (65e).

Une belle haie d'honneur

Luis Aragones réplique alors en envoyant Xabi Alonso sur le pré en lieu et place de Fabregas puis Cazorla à la place de Silva. Et ça marche puisque les Allemands ne seront plus jamais dangereux. Les Espagnols reprennent leur domination. Sur un coup franc joué par Xavi, Ramos se joue de la défense et place une tête puissante que Lehmann détourne en corner (67e). Sur le corner, Iniesta place une frappe que Frings sauve sur sa ligne (67e) ! Dans le minute, Iniesta frappe en pleine surface (68e).

Les minutes passent, les coéquipiers de Puyol font de plus en plus circuler le ballon, privant ainsi les Allemands des munitions nécessaires. Pire, ils trouvent des espaces et manquent à plusieurs reprises de doubler la mise. Xabi Alonso, superbement servi dans la surface, joue avec Torres au lieu de frapper, le buteur du jour centre instantanément mais se fait contrer (76e). Cazorla envoie un centre vers Guïza qui remet sur Senna un tout petit peu court (81e). La dernière frappe de Xavi ne trouve pas non plus le cadre mais l'essentiel n'est pas là (86e).

Toute l'Espagne exulte en effet au coup de sifflet final. Une joie intense pour tout un peuple si souvent placé mais jamais gagnant. Cette jeune génération a tout pour elle. Après une haie d'honneur du plus bel effet pour féliciter les Allemands, les Espagnols peuvent brandir le trophée dans le ciel viennois. L'instant est magique. Ils sont entrés dans l'histoire.

Ca censure les chauses fausses

Chauses ?

J'en connais un qui est fatigué , n'est ce pas ?

Lol Sharp.

Sinon content que sa soit Torres qui marque pour les Espagnol.

mer** Forcément ça gâche le sens de mon post

mer**

Edit : Put*** de censure de mer**